Réflexions d’un vieux président
Monsieur le Président,
Chaque Congrès Fédéral permet – ou invite – les présidents du réseau à présenter toute suggestion ou toute question qu’il désirerait soulever et discuter en commun lors de ces 2 journées.
Pour ma part, il ne s’agit pas d’une question écrite, mais plutôt d’une réflexion personnelle et qui pourrait éventuellement être partagée, si cela n’est déjà fait.
Pour avoir participé tout au long de l’année 2015 à l’élaboration ‘schéma départemental 06’ et au ‘contrat de performance’ mis en œuvre par les services ex-ASE, nous n’avons de cesse de préciser notre légitimité.
Cf : Art. 224-11 du CASF.
Nous nous efforçons de travailler, dès l’âge de 16 ans, à l’insertion des jeunes pris en charge par la protection de l’Enfant ; des contacts, des visites, des accueils sont réalisés afin que – lorsque la date fatidique des 18 ou 21 ans sonne au clocher du village – ils ne basculent pas dans l’errance, la délinquance ou autres situations précaires et dangereuses.
Pour autant, faudrait-il encore que nous soyons considérés comme partenaire privilégié du service de la Protection de l’Enfant, et que notre parole soit d’avantage prise en compte…
J’en arrive à me demander si je ne sais plus me faire comprendre ou si je m’exprime mal… si mon discours est si inaudible ou encore si j’ai à faire à des personnes en perte auditive !...
La plupart des publics que nous recevons est dans une situation de détresse totale, après avoir bénéficié des dispositifs de Droits Communs, et nous est adressé en désespoir de cause…
Effectivement - c’est notre cœur de métier – nous demandons à prendre toute notre place dans les dispositifs existants. Nous réclamons – et on nous l’a promis ! – d’être destinataire de la liste des Jeunes Majeurs, afin de pouvoir prendre attache auprès d’eux et de les soutenir et les accompagner en cas de nécessité… peut-être pourrons-nous alors minorer ce chaos annoncé…
Monsieur le Président,
Chaque Congrès Fédéral permet – ou invite – les présidents du réseau à présenter toute suggestion ou toute question qu’il désirerait soulever et discuter en commun lors de ces 2 journées.
Pour ma part, il ne s’agit pas d’une question écrite, mais plutôt d’une réflexion personnelle et qui pourrait éventuellement être partagée, si cela n’est déjà fait.
Pour avoir participé tout au long de l’année 2015 à l’élaboration ‘schéma départemental 06’ et au ‘contrat de performance’ mis en œuvre par les services ex-ASE, nous n’avons de cesse de préciser notre légitimité.
Cf : Art. 224-11 du CASF.
Nous nous efforçons de travailler, dès l’âge de 16 ans, à l’insertion des jeunes pris en charge par la protection de l’Enfant ; des contacts, des visites, des accueils sont réalisés afin que – lorsque la date fatidique des 18 ou 21 ans sonne au clocher du village – ils ne basculent pas dans l’errance, la délinquance ou autres situations précaires et dangereuses.
Pour autant, faudrait-il encore que nous soyons considérés comme partenaire privilégié du service de la Protection de l’Enfant, et que notre parole soit d’avantage prise en compte…
J’en arrive à me demander si je ne sais plus me faire comprendre ou si je m’exprime mal… si mon discours est si inaudible ou encore si j’ai à faire à des personnes en perte auditive !...
La plupart des publics que nous recevons est dans une situation de détresse totale, après avoir bénéficié des dispositifs de Droits Communs, et nous est adressé en désespoir de cause…
Effectivement - c’est notre cœur de métier – nous demandons à prendre toute notre place dans les dispositifs existants. Nous réclamons – et on nous l’a promis ! – d’être destinataire de la liste des Jeunes Majeurs, afin de pouvoir prendre attache auprès d’eux et de les soutenir et les accompagner en cas de nécessité… peut-être pourrons-nous alors minorer ce chaos annoncé…